La vitesse des arbres immobiles… (suite 8)
Shmuel T. Meyer
lors de sa résidence d’écriture ce printemps à la maison De Pure Fiction
J’ai failli oublier
Qu’au-dessus de ma tête il y avait le ciel le plus sauvage.
Je me suis réveillé.
Il devait être deux heures du matin.
La vitesse des arbres immobiles… (suite 7)
Shmuel T. Meyer
lors de sa résidence d’écriture ce printemps à la maison De Pure Fiction
Toutes les belles surprises me sont venues du ciel.
Lire la suiteLa vitesse des arbres immobiles… (suite 6)
Shmuel T. Meyer
lors de sa résidence d’écriture ce printemps à la maison De Pure Fiction
Cette vague indolente de chênes et cornouillers
Qui ne connait
Ni l’écume ni le ressac, ni la pitié
Moi
La vitesse des arbres immobiles… (suite 5)
Shmuel T. Meyer
lors de sa résidence d’écriture ce printemps à la maison De Pure Fiction
Ce jour-là, on avait pris la route avant le lever du soleil. Je frissonnais dans mes culottes courtes que l’on n’appelait pas encore short. Porte d’Italie, nous roulions vers l’Italie.
Lire la suiteLa vitesse des arbres immobiles… (suite 4)
Shmuel T. Meyer
lors de sa résidence d’écriture ce printemps à la maison De Pure Fiction
8 mai 2017 (librement inspiré par qui vous savez, l’immense génie d’Elsa, le méchant de Staline)
Il y avait la cohorte de la haine à l’haleine chargée
Le faux nez d’un Doriot, d’un Déat en veste de velours