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Maison d'écrivains (le Blog)

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Bruit du vent, morsure du soleil, cri du chevreuil…

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A livre ouvert avec Cécile Guidot

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Et ma peine toute rentrée…

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Les voix…

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A livre ouvert avec Laurence Nobécourt

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Météo Littéraire

- Ici, il y a plusieurs cerises sur le gâteau. En résidence à la maison De Pure Fiction il y a tout juste un an avec dans ses bagages un livre en écriture Opéra des oiseaux paru en cette rentrée, Laurence Nobécourt me donnait là un sourire de quatre saisons. Disons, pour les 8 prochaines années.
8 c’est l’infini debout, le temps écoulé déjà depuis que les auteurs se succèdent sur le causse et leur livre y aura grandi.

Isabel Desesquelles


Les Rubriques

Un livre définitivement à partager.

Une littérature en toute subjectivité

Deux livres pour une oeuvre.

Rendez-vous avec un écrivain.

Ils répondent aux questions De Pure Fiction.

Territoire littéraire.

Hélène Cixous

Hélène Cixous

La vie est une chasse

Virginia Woolf

Virginia Woolf

L'autre côté de l'esprit nous apparaît maintenant - le côté obscur, qui se révèle dans la solitude, pas le côté clair qui se montre en société

W. Somerset Maugham

W. Somerset Maugham

S’abandonner au bonheur c’est peut-être accepter la défaite.

Somerset Maugham

Somerset Maugham

Croire la jeunesse heureuse est l'illusion de ceux qui l'ont perdue.

Octavio Paz

Octavio Paz

Contre le silence et le vacarme, j'invente la Parole, liberté qui s'invente elle-même et m'invente, chaque jour.

Charlotte Brontë

Charlotte Brontë

La préférence passionnée pour le merveilleux, l’étonnant et le sauvage, l’étrange, le stupéfiant et le déchirant

Emile Zola

Emile Zola

Vous me demandez ce que je viens faire en ce monde, moi artiste, je vous dirai, moi je viens vivre tout haut

Hélène Cixous

Hélène Cixous

Lire et vivre sont des synonymes. Lire c’est écrire, c’est le premier temps de l’écriture

Jaume Cabré

Jaume Cabré

Plus que les choses, ce qui est important c'est l'espoir que l'on projette sur elles. C'est ce qui nous rend humains."

Annie Ernaux

Annie Ernaux

La littérature n’est pas la vie, elle est ou devrait être l’éclaircissement de l’opacité de la vie.

Annie Ernaux

La mémoire ne s’arrête jamais. Elle apparie les morts aux vivants, les êtres réels aux imaginaires, le rêve à l’histoire.

William Faulkner

William Faulkner

Le passé n’est jamais mort. Il n’est même pas passé.
Italo Calvino

Italo Calvino

Un classique est un livre qui n’a jamais fini de dire ce qu’il a à dire.

Henry James

Henry James

Isabelle avait une certaine hauteur d'imagination, qui lui rendait bien des services, et lui jouait aussi plus d'un tour. Elle passait le meilleur de son temps à rêver de beauté, de courage et magnanimité. Elle gardait l'espoir infaillible de ne jamais faillir.
Paul Valéry

Paul Valéry

Celui même qui veut écrire son rêve se doit d’être infiniment éveillé.

George Eliot

George Eliot

Être poète, c’est avoir une âme dans laquelle le savoir se mue instantanément en sentiment, et où le sentiment renvoie des éclairs comme s’il était un nouvel organe de connaissance.

Charles Juliet

Charles Juliet

Ecrire c’est inventer le vrai.

Clarice Lispector

Je suis entrée dans une librairie qui m’a parue être le monde où j’aimerais habiter

Paul Valéry

Paul Valéry

Un regard sur la mer est un regard sur le possible.
Jean Giono

Jean Giono

Il y a des choses qui sont ininventables ou qui paraissent être ininventables, ce sont précisément celles-là qu’il faut inventer

Sénèque

Sénèque

Ce n’est pas parce que les choses sont difficiles que nous n’osons ; c’est parce que nous n’osons qu’elles sont difficiles.
Jean Anouilh

Jean Anouilh

On n’est jamais seul. On est avec soi

Varlam Chalamov

Varlam Chalamov

Ne crains rien, ne demande rien, ne crois rien.

Marcelle Delpastre

Tu feras sortir de l’ombre chaque chose elle-même, comme jadis jamais elle ne l’avait été

Virginia Woolf

Virginia Woolf

J’essaie d’imaginer dans ma tête ce qui se passerait si on pouvait infuser les âmes

Jankélévitch

Jankélévitch

  On peut vivre sans art, sans musique et sans philosophie mais mal.
Paul Valéry

Paul Valéry

Celui même qui veut écrire son rêve se doit d'être infiniment éveillé.
Federico Fellini

Federico Fellini

Il n’est pas nécessaire que les choses qu’on montre soient authentiques. Ce qui doit être authentique, c’est l’émotion

Victor Hugo

Victor Hugo

L’homme qui ne médite pas vit dans l’aveuglement. l’homme qui médite vit dans l’obscurité. Nous n’avons que le choix du noir.
Pierre Assouline

Pierre Assouline

Un chef d’oeuvre, cette rareté en tout art qui nous explique ce qui nous arrive mieux que nous ne saurions le faire.

Henry de Montherlant

Henry de Montherlant

Il n’y a que les romanciers qui se préoccupent de bannir l’invraisemblable de leurs livres. La vie n’a pas ces scrupules.

Gustave Flaubert

Gustave Flaubert

Il faut s’habituer à ne voir dans les gens qui nous entourent que des livres.

Mark Twain

Mark Twain

La différence entre la fiction et la réalité, c’est que la fiction doit être crédible

Vaclav Havel

Vaclav Havel

Le seul combat perdu d’avance est celui auquel on renonce.

Edgar Allan Poe

Edgar Allan Poe

Toute certitude est dans les rêves

William Faulkner

William Faulkner

La littérature ne sert pas à mieux voir. Elle sert seulement à mieux mesurer l’épaisseur de l’ombre

André Gide

André Gide

Il ne faut jamais retourner vers les lieux qui nous ont envoûtés.

Erri De Luca

Erri De Luca

A travers les pages on voit dehors... L’enceinte des livres, petite comme le panier d’une montgolfière, ouvre sur tout.

Marguerite Yourcenar

Marguerite Yourcenar

Le véritable lieu de naissance est celui où l’on a porté pour la première fois un coup d’oeil intelligent sur soi-même : mes premières patries ont été des livres

Pierre Drachline

Pierre Drachline

Qui ne connaît pas l’ivresse littéraire, ignore qu’il est possible de bondir hors de soi.

Articles les plus récents

L’abomination est ce qui allait de soi…

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Wash
Margaret Wrinkle – Editions Belfond

Un premier roman à trois voix, toutes autant passionnantes l’une que l’autre. L’esclave, le maître et l’accoucheuse. Nous sommes dans une plantation du Sud des Etats-Unis, Wash est cet étalon qui ensemence pour la prospérité du domaine, à ceci près que Wash n’est pas un cheval mais un nègre. « Y en a, je les touche à peine. J’ai appris à me méfier.

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A livre ouvert avec Sophie Divry

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Sophie Divry vient de publier La condition pavillonnaire un troisième roman percutant. Son héroïne, flanquée de mari, amant et enfants s’embourbe dans une vie tout à la fois rétrécie et lâche. Elle écrira cet hiver son quatrième livre à la maison De Pure Fiction.

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Dire dans ses détails un fracas, un éblouissement…

Mis en ligne par

Les fleurs d’hiver
Angélique Villeneuve – Editions Phébus

Poursuivant ma découverte des romans d’Angélique Villeneuve, j’entre dans une oeuvre qui s’emparant de notre langue et l’étirant, en fait une matière surprenante, enveloppante et oui ensorcelante, tant il est vrai que les femmes  d’Angélique Villeneuve sont un peu sorcières. La Jeanne des Fleurs d’hiver est une figure poignante qui emprunte à Maupassant. C’est une vie et deux êtres.

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Ce mystère sous la peau des femmes…

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Et rien d’autre
James Salter – Editions de l’Olivier

Pour qui a lu Un bonheur parfait voilà un roman très attendu, et même un roman espéré. L’écriture de James Salter est d’une élégance souveraine, la langue y est un souffle pour dire ce qui ne se dit pas, écrire ce qui ne se raconte pas, la tessiture des émotions, le charnel des sentiments. Le désenchantement est là, partout, la grande affaire de l’existence. On est avec Fitzgerald ou dans certaines scènes des films de Sydney Pollack souvent nimbées d’une lumière dorée pour dire ce qu’il y a de sombre à naître, aimer et perdre.

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La poésie a des mains d’homme…

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Le cheval Péguy
Jean-Luc Seigle – Editions Pierre Guillaume de Roux

Jean-Luc Seigle a du style. Après son précédent roman En vieillissant les hommes pleurent, on retrouve dans ce bref récit des fulgurances, une retenue aussi, d’où jaillit une émotion que l’on peut dire d’enfance, une émotion pure. Charles Péguy, Jeanne d’Arc et le temps sont la grande affaire de ce texte mais pas seulement. Il y a aussi le seigle avec lequel la grand-mère et la mère de Péguy rempaillent les chaises.

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