Menu de navigation

Maison d'écrivains (le Blog)

Derniers Articles

Bruit du vent, morsure du soleil, cri du chevreuil…

Mis en ligne par le 12-22-22

A livre ouvert avec Cécile Guidot

Mis en ligne par le 10-29-22

Et ma peine toute rentrée…

Mis en ligne par le 9-30-22

A livre ouvert avec Elie Maure

Mis en ligne par le 9-25-22

Odysséennes: cinq femmes homériques…

Mis en ligne par le 9-25-22

Les voix…

Mis en ligne par le 9-19-22

A livre ouvert avec Alexandre Bergamini

Mis en ligne par le 10-20-21

A livre ouvert avec Laurence Nobécourt

Mis en ligne par le 10-3-21

plus d'Articles

Météo Littéraire

- Ici, il y a plusieurs cerises sur le gâteau. En résidence à la maison De Pure Fiction il y a tout juste un an avec dans ses bagages un livre en écriture Opéra des oiseaux paru en cette rentrée, Laurence Nobécourt me donnait là un sourire de quatre saisons. Disons, pour les 8 prochaines années.
8 c’est l’infini debout, le temps écoulé déjà depuis que les auteurs se succèdent sur le causse et leur livre y aura grandi.

Isabel Desesquelles


Les Rubriques

Un livre définitivement à partager.

Une littérature en toute subjectivité

Deux livres pour une oeuvre.

Rendez-vous avec un écrivain.

Ils répondent aux questions De Pure Fiction.

Territoire littéraire.

Federico Fellini

Federico Fellini

Il n’est pas nécessaire que les choses qu’on montre soient authentiques. Ce qui doit être authentique, c’est l’émotion

Pierre Assouline

Pierre Assouline

Un chef d’oeuvre, cette rareté en tout art qui nous explique ce qui nous arrive mieux que nous ne saurions le faire.

Varlam Chalamov

Varlam Chalamov

Ne crains rien, ne demande rien, ne crois rien.

Edgar Allan Poe

Edgar Allan Poe

Toute certitude est dans les rêves

Virginia Woolf

Virginia Woolf

L'autre côté de l'esprit nous apparaît maintenant - le côté obscur, qui se révèle dans la solitude, pas le côté clair qui se montre en société

Jaume Cabré

Jaume Cabré

Plus que les choses, ce qui est important c'est l'espoir que l'on projette sur elles. C'est ce qui nous rend humains."

Pierre Drachline

Pierre Drachline

Qui ne connaît pas l’ivresse littéraire, ignore qu’il est possible de bondir hors de soi.
Marguerite Yourcenar

Marguerite Yourcenar

Le véritable lieu de naissance est celui où l’on a porté pour la première fois un coup d’oeil intelligent sur soi-même : mes premières patries ont été des livres

Mark Twain

Mark Twain

La différence entre la fiction et la réalité, c’est que la fiction doit être crédible

Jean Anouilh

Jean Anouilh

On n’est jamais seul. On est avec soi

Hélène Cixous

Hélène Cixous

Lire et vivre sont des synonymes. Lire c’est écrire, c’est le premier temps de l’écriture

Paul Valéry

Paul Valéry

Un regard sur la mer est un regard sur le possible.
Erri De Luca

Erri De Luca

A travers les pages on voit dehors... L’enceinte des livres, petite comme le panier d’une montgolfière, ouvre sur tout.

W. Somerset Maugham

W. Somerset Maugham

S’abandonner au bonheur c’est peut-être accepter la défaite.

Jean Giono

Jean Giono

Il y a des choses qui sont ininventables ou qui paraissent être ininventables, ce sont précisément celles-là qu’il faut inventer

Annie Ernaux

Annie Ernaux

La littérature n’est pas la vie, elle est ou devrait être l’éclaircissement de l’opacité de la vie.

Somerset Maugham

Somerset Maugham

Croire la jeunesse heureuse est l'illusion de ceux qui l'ont perdue.

Clarice Lispector

Je suis entrée dans une librairie qui m’a parue être le monde où j’aimerais habiter

Marcelle Delpastre

Tu feras sortir de l’ombre chaque chose elle-même, comme jadis jamais elle ne l’avait été

Emile Zola

Emile Zola

Vous me demandez ce que je viens faire en ce monde, moi artiste, je vous dirai, moi je viens vivre tout haut

Jankélévitch

Jankélévitch

  On peut vivre sans art, sans musique et sans philosophie mais mal.
Henry de Montherlant

Henry de Montherlant

Il n’y a que les romanciers qui se préoccupent de bannir l’invraisemblable de leurs livres. La vie n’a pas ces scrupules.

Henry James

Henry James

Isabelle avait une certaine hauteur d'imagination, qui lui rendait bien des services, et lui jouait aussi plus d'un tour. Elle passait le meilleur de son temps à rêver de beauté, de courage et magnanimité. Elle gardait l'espoir infaillible de ne jamais faillir.
Gustave Flaubert

Gustave Flaubert

Il faut s’habituer à ne voir dans les gens qui nous entourent que des livres.

Paul Valéry

Paul Valéry

Celui même qui veut écrire son rêve se doit d’être infiniment éveillé.

André Gide

André Gide

Il ne faut jamais retourner vers les lieux qui nous ont envoûtés.

Annie Ernaux

La mémoire ne s’arrête jamais. Elle apparie les morts aux vivants, les êtres réels aux imaginaires, le rêve à l’histoire.

William Faulkner

William Faulkner

Le passé n’est jamais mort. Il n’est même pas passé.
Octavio Paz

Octavio Paz

Contre le silence et le vacarme, j'invente la Parole, liberté qui s'invente elle-même et m'invente, chaque jour.

Italo Calvino

Italo Calvino

Un classique est un livre qui n’a jamais fini de dire ce qu’il a à dire.

Charlotte Brontë

Charlotte Brontë

La préférence passionnée pour le merveilleux, l’étonnant et le sauvage, l’étrange, le stupéfiant et le déchirant

Charles Juliet

Charles Juliet

Ecrire c’est inventer le vrai.

Sénèque

Sénèque

Ce n’est pas parce que les choses sont difficiles que nous n’osons ; c’est parce que nous n’osons qu’elles sont difficiles.
Hélène Cixous

Hélène Cixous

La vie est une chasse

Paul Valéry

Paul Valéry

Celui même qui veut écrire son rêve se doit d'être infiniment éveillé.
Victor Hugo

Victor Hugo

L’homme qui ne médite pas vit dans l’aveuglement. l’homme qui médite vit dans l’obscurité. Nous n’avons que le choix du noir.
Virginia Woolf

Virginia Woolf

J’essaie d’imaginer dans ma tête ce qui se passerait si on pouvait infuser les âmes

Vaclav Havel

Vaclav Havel

Le seul combat perdu d’avance est celui auquel on renonce.

William Faulkner

William Faulkner

La littérature ne sert pas à mieux voir. Elle sert seulement à mieux mesurer l’épaisseur de l’ombre

George Eliot

George Eliot

Être poète, c’est avoir une âme dans laquelle le savoir se mue instantanément en sentiment, et où le sentiment renvoie des éclairs comme s’il était un nouvel organe de connaissance.

Articles les plus récents

La vitesse des arbres immobiles… (suite 5)

Mis en ligne par

Shmuel T. Meyer
lors de sa résidence d’écriture ce printemps à la maison De Pure Fiction

Ce jour-là, on avait pris la route avant le lever du soleil. Je frissonnais dans mes culottes courtes que l’on n’appelait pas encore short. Porte d’Italie, nous roulions vers l’Italie.

Lire la suite

La vitesse des arbres immobiles… (suite 4)

Mis en ligne par

Shmuel T. Meyer
lors de sa résidence d’écriture ce printemps à la maison De Pure Fiction

8 mai 2017 (librement inspiré par qui vous savez, l’immense génie d’Elsa, le méchant de Staline)
Il y avait la cohorte de la haine à l’haleine chargée
Le faux nez d’un Doriot, d’un Déat en veste de velours

Lire la suite

La vitesse des arbres immobiles… (suite 3)

Mis en ligne par

Shmuel T. Meyer
lors de sa résidence d’écriture ce printemps à la maison De Pure Fiction

Tentation du malheur partagé. Je crois que ceux qui votent Front National ne cherchent pas le « meilleur à venir pour eux-mêmes ou pour les leurs » mais le malheur partagé pour tous les autres.

Lire la suite

La vitesse des arbres immobiles… (suite 2)

Mis en ligne par

Shmuel T. Meyer
lors de sa résidence d’écriture ce printemps à la maison De Pure Fiction

La pluie a organisé son grand retour. ( Et il pleut sur le causse comme il ne pleut pas sur la ville. ) La ville, oui, la ville et la pluie sur l’asphalte. Le causse, oui le causse où la pluie engrosse l’herbe et la forêt. ( J’ai appris aujourd’hui qu’il n’est pas bien vu d’adopter un enfant en Turquie. ) Chaque goutte de pluie comme un grand roman qui s’écrit.

Lire la suite

La vitesse des arbres immobiles… (suite 1)

Mis en ligne par

Shmuel T. Meyer
lors de sa résidence d’écriture ce printemps à la maison De Pure Fiction

Est-ce l’excès de sang, un flux trop puissant, trop neuf, qui frappe à ma tempe ? Est-ce la robe caramélisée des vapeurs hashichéennes qui embrume ma tête ?

Lire la suite