L’irréparable a un prénom…
Richard Wagamese – Les étoiles s’éteignent à l’aube – Editions Zoé
Un prénom féminin, Angie, que l’on attend pendant tout le livre et lorsqu’il apparait au détour d’une page ce prénom, il charrie une émotion que nombre des chapitres précédents ont soulevé tant ce roman est un joyau rare.
Lire la suiteSon roman familial…
Per Petterson – Paris-Brest – Editions Minuit
« On dirait que dans la Marine, on recrute les officiers selon le format de leur squelette, ou bien qu’un certain type d’exercices physiques, ou bien un certain régime alimentaire, a fini par sculpter leur corps de cette même taille longiligne et curieusement aviaire,
Lire la suiteC’est à moi de décider si j’ai mal…
Per Petterson – Pas facile de voler les chevaux – Editions Gallimard
Un père va dire à son fils de quinze ans « C’est à toi de décider si tu as mal. » Et d’une certaine façon ces mots vont décider de la vie du jeune garçon. Quand le livre commence cinquante ans ont passé. L’ancien adolescent a depuis perdu sa pureté et la force qu’elle donne.
Lire la suiteComme les signes d’une grâce…
Tanguy Viel
lors de sa résidence d’écriture ce printemps à la maison De Pure Fiction
Ce que je cherche depuis presque un mois, depuis que j’ai vu ce chevreuil vaquer si longuement sous mes fenêtres, revu ensuite si souvent, ce que je cherche, c’est la nature de l’émotion qui m’a tenu à chaque fois, à l’instant surtout du surgissement de l’animal.
Lire la suiteTout droit sorti d’un film de Douglas Sirk
Tanguy Viel
lors de sa résidence d’écriture ce printemps à la maison De Pure Fiction
Ici la fenêtre ouvre en Cinémascope sur le jardin, encore que jardin convient mal, plutôt déploiement de nature en même temps que stellaire quand, dans le format allongé de la vitre, ciel et terre se partagent équitablement le cadre.
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