C’est la maison De Pure Fiction tout entière qui écrit…
Angélique Villeneuve
lors de sa résidence d’écriture à la maison De Pure Fiction
Jamais l’on n’imagine, en découvrant un lieu nouveau, qu’à force de toucher, de regard, à force de traversées, il aille muer, à ce point et à cette vitesse, en un morceau de nous-mêmes.
Lire la suiteLes rapaces, paraît-il, hennissent dans les bois…
Angélique Villeneuve
lors de sa résidence d’écriture à la maison De Pure Fiction
Tu me racontais le Lot où tu allais enfant, l’été, chez ta grand-mère maternelle.
Lire la suiteAccroché au Causse comme un arapède à son rocher…
Guillaume de Fonclare
lors de sa résidence d’écriture à la maison De Pure Fiction
Aujourd’hui, il pleut, et l’on se trouve surpris. C’est une pluie sauvage et infiniment tonique ; il peut à grosses gouttes, qui frappent le carreau avec violence. Les nuages gris se sont posés sur le Causse, caressant les arêtes de calcaires des collines embrumées.
Lire la suiteCe que les cailloux donnent de bon…
Sophie Divry
lors de sa résidence d’écriture à la maison De Pure Fiction
Puisqu’il doit rester encore un moment, il est bon de dire « plateau calcaire », « chênes verts », « filet anti-chevreuil » (et non plus biche), « bois de chauffe », « pinson » (et non plus moineau). Les routes noires et les routes de poussière qu’on dit forestières et mille bergers soulevant les pierres.
Lire la suiteSaint-Étienne de Calvignac, mille ans, porte bien son âge…
Guillaume de Fonclare
lors de sa résidence d’écriture à la maison De Pure Fiction
De mon repaire sur les hauteurs du Causse, je vole d’église en église depuis mon arrivée. De la petite Saint-Étienne de Calvignac à la majestueuse collégiale Notre-Dame à Villefranche-de-Rouergue, je n’ai de cesse d’en visiter les arcanes de pierres;
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