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Mis en ligne par Philippe Renard
Accepter des textes que je n’aurais jamais osé aborder sans elle…
Mis en ligne par Philippe Renard
Sylvie Germain – Jours de colère – Editions Gallimard
Je suis devenu un inconditionnel de Sylvie Germain en lisant Jours de colère. Le roman commençait par un exposé évoquant une alternative. Au moment où je m’inquiétais de sa longueur, un mot final : selon, terminant le paragraphe me laissa en plan, à décider tout seul de quel coté pencher. J’étais conquis.
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Paul Valéry
Celui même qui veut écrire son rêve se doit d'être infiniment éveillé.
Annie Ernaux
La littérature n’est pas la vie, elle est ou devrait être l’éclaircissement de l’opacité de la vie.
Victor Hugo
L’homme qui ne médite pas vit dans l’aveuglement. l’homme qui médite vit dans l’obscurité. Nous n’avons que le choix du noir.
William Faulkner
La littérature ne sert pas à mieux voir. Elle sert seulement à mieux mesurer l’épaisseur de l’ombre
Octavio Paz
Contre le silence et le vacarme, j'invente la Parole, liberté qui s'invente elle-même et m'invente, chaque jour.Annie Ernaux
La mémoire ne s’arrête jamais. Elle apparie les morts aux vivants, les êtres réels aux imaginaires, le rêve à l’histoire.
Federico Fellini
Il n’est pas nécessaire que les choses qu’on montre soient authentiques. Ce qui doit être authentique, c’est l’émotionMarcelle Delpastre
Tu feras sortir de l’ombre chaque chose elle-même, comme jadis jamais elle ne l’avait été
Hélène Cixous
Lire et vivre sont des synonymes. Lire c’est écrire, c’est le premier temps de l’écriture
Pierre Assouline
Un chef d’oeuvre, cette rareté en tout art qui nous explique ce qui nous arrive mieux que nous ne saurions le faire.
Erri De Luca
A travers les pages on voit dehors... L’enceinte des livres, petite comme le panier d’une montgolfière, ouvre sur tout.
Henry James
Isabelle avait une certaine hauteur d'imagination, qui lui rendait bien des services, et lui jouait aussi plus d'un tour. Elle passait le meilleur de son temps à rêver de beauté, de courage et magnanimité. Elle gardait l'espoir infaillible de ne jamais faillir.
Virginia Woolf
L'autre côté de l'esprit nous apparaît maintenant - le côté obscur, qui se révèle dans la solitude, pas le côté clair qui se montre en société
Paul Valéry
Un regard sur la mer est un regard sur le possible.
Sénèque
Ce n’est pas parce que les choses sont difficiles que nous n’osons ; c’est parce que nous n’osons qu’elles sont difficiles.
Marguerite Yourcenar
Le véritable lieu de naissance est celui où l’on a porté pour la première fois un coup d’oeil intelligent sur soi-même : mes premières patries ont été des livres
William Faulkner
Le passé n’est jamais mort. Il n’est même pas passé.Clarice Lispector
Je suis entrée dans une librairie qui m’a parue être le monde où j’aimerais habiter
Pierre Drachline
Qui ne connaît pas l’ivresse littéraire, ignore qu’il est possible de bondir hors de soi.
Henry de Montherlant
Il n’y a que les romanciers qui se préoccupent de bannir l’invraisemblable de leurs livres. La vie n’a pas ces scrupules.
Emile Zola
Vous me demandez ce que je viens faire en ce monde, moi artiste, je vous dirai, moi je viens vivre tout haut
Jaume Cabré
Plus que les choses, ce qui est important c'est l'espoir que l'on projette sur elles. C'est ce qui nous rend humains."
Charlotte Brontë
La préférence passionnée pour le merveilleux, l’étonnant et le sauvage, l’étrange, le stupéfiant et le déchirant
George Eliot
Être poète, c’est avoir une âme dans laquelle le savoir se mue instantanément en sentiment, et où le sentiment renvoie des éclairs comme s’il était un nouvel organe de connaissance.
Jean Giono
Il y a des choses qui sont ininventables ou qui paraissent être ininventables, ce sont précisément celles-là qu’il faut inventer
Jankélévitch
On peut vivre sans art, sans musique et sans philosophie mais mal.
Le Monde en culture
- « La Chair des autres », de Claire Berest, et « Ecrire Mazan », d’Elise Costa : le pourquoi et le comment
- James Tynion IV, scénariste de comics : « L’horreur me permet d’explorer les parties de mon esprit que je n’aime pas »
- « Retour à Pasaia », d’Aroa Moreno Duran : trois Espagnoles en quête de réconciliation
- « La Bella Confusione », de Francesco Piccolo : en 1962, l’apogée du cinéma italien
- Les brèves critiques du « Monde des livres » : Anna Colin Lebedev, Bruno Fuligni, Monique Lévi-Strauss…