On en parle
Mis en ligne par Isabel Desesquelles le 29 04 16
Isabelle Desesquelles, de pur don
Cette ancienne libraire devenue écrivaine a ouvert en 2013 la résidence d’auteurs De Pure Fiction, où elle met, comme dans ses romans, sa belle énergie littéraire.
Isabelle Desesquelles a reçu mercredi 5 décembre le prix Femina des lycéens 2018 pour son roman
« Je voudrais que la nuit me prenne » (Belfond)
Pour les 5 ans de la maison De Pure Fiction
Isabelle Desesquelles présente la Maison De Pure Fiction
Cécile Coulon lors de sa résidence à la Maison De Pure Fiction
Autres Articles
Paul Valéry
Celui même qui veut écrire son rêve se doit d'être infiniment éveillé.Jean Giono
Il y a des choses qui sont ininventables ou qui paraissent être ininventables, ce sont précisément celles-là qu’il faut inventerWilliam Faulkner
Le passé n’est jamais mort. Il n’est même pas passé.Hélène Cixous
Lire et vivre sont des synonymes. Lire c’est écrire, c’est le premier temps de l’écriturePaul Valéry
Un regard sur la mer est un regard sur le possible.Annie Ernaux
La littérature n’est pas la vie, elle est ou devrait être l’éclaircissement de l’opacité de la vie.Charlotte Brontë
La préférence passionnée pour le merveilleux, l’étonnant et le sauvage, l’étrange, le stupéfiant et le déchirantEmile Zola
Vous me demandez ce que je viens faire en ce monde, moi artiste, je vous dirai, moi je viens vivre tout hautClarice Lispector
Je suis entrée dans une librairie qui m’a parue être le monde où j’aimerais habiterWilliam Faulkner
La littérature ne sert pas à mieux voir. Elle sert seulement à mieux mesurer l’épaisseur de l’ombreMarcelle Delpastre
Tu feras sortir de l’ombre chaque chose elle-même, comme jadis jamais elle ne l’avait étéHenry de Montherlant
Il n’y a que les romanciers qui se préoccupent de bannir l’invraisemblable de leurs livres. La vie n’a pas ces scrupules.Annie Ernaux
La mémoire ne s’arrête jamais. Elle apparie les morts aux vivants, les êtres réels aux imaginaires, le rêve à l’histoire.Virginia Woolf
L'autre côté de l'esprit nous apparaît maintenant - le côté obscur, qui se révèle dans la solitude, pas le côté clair qui se montre en sociétéVictor Hugo
L’homme qui ne médite pas vit dans l’aveuglement. l’homme qui médite vit dans l’obscurité. Nous n’avons que le choix du noir.George Eliot
Être poète, c’est avoir une âme dans laquelle le savoir se mue instantanément en sentiment, et où le sentiment renvoie des éclairs comme s’il était un nouvel organe de connaissance.Pierre Drachline
Qui ne connaît pas l’ivresse littéraire, ignore qu’il est possible de bondir hors de soi.Henry James
Isabelle avait une certaine hauteur d'imagination, qui lui rendait bien des services, et lui jouait aussi plus d'un tour. Elle passait le meilleur de son temps à rêver de beauté, de courage et magnanimité. Elle gardait l'espoir infaillible de ne jamais faillir.Federico Fellini
Il n’est pas nécessaire que les choses qu’on montre soient authentiques. Ce qui doit être authentique, c’est l’émotionOctavio Paz
Contre le silence et le vacarme, j'invente la Parole, liberté qui s'invente elle-même et m'invente, chaque jour.Jankélévitch
On peut vivre sans art, sans musique et sans philosophie mais mal.Marguerite Yourcenar
Le véritable lieu de naissance est celui où l’on a porté pour la première fois un coup d’oeil intelligent sur soi-même : mes premières patries ont été des livresSénèque
Ce n’est pas parce que les choses sont difficiles que nous n’osons ; c’est parce que nous n’osons qu’elles sont difficiles.Jaume Cabré
Plus que les choses, ce qui est important c'est l'espoir que l'on projette sur elles. C'est ce qui nous rend humains."Erri De Luca
A travers les pages on voit dehors... L’enceinte des livres, petite comme le panier d’une montgolfière, ouvre sur tout.Pierre Assouline
Un chef d’oeuvre, cette rareté en tout art qui nous explique ce qui nous arrive mieux que nous ne saurions le faire.Le Monde en culture
- « La Nuit de David », d’Abigail Assor : toi, le frère qui n’étais pas si fou
- Chez Fayard, le nouveau chapitre de la mainmise de Vincent Bolloré s’écrit dans la douleur
- « Retour à Belfast », de Michael Magee : une chambre à lui
- « Sur Spinoza. Cours novembre 1980-mars 1981 » : Deleuze et Spinoza, un tableau divin
- Marion Montaigne, autrice de BD : « La science me permet d’atténuer mes peurs »